Ghostwriting
Au début de l'année, les Universités de St-Gall et de Berne ont déposé plainte contre une agence de « ghostwriting ». Faire rédiger son travail de Bachelor, de Master ou sa thèse de doctorat par une tierce personne est certainement injuste et contraire à l'éthique. Les étudiant-e-s dont un tel travail est détecté doivent s'attendre à des conséquences disciplinaires. Mais le « ghostwriting » est-il également punissable ? Quels sont les éléments à prendre en compte ? La situation juridique actuelle suffit-elle pour lutter efficacement contre le « ghostwriting » ? C'est sur ces questions entre autres que se penche l'auteure dans la contribution. (nse)
Inhaltsverzeichnis
- I. Einleitung und Problemstellung
- II. «Titelbetrug» nach Art. 146 StGB
- III. Urkundendelikte
- 1. Geschützte Rechtsgüter
- 2. Sind universitäre Arbeiten Urkunden?
- 3. Urkundenfälschung (Art. 251 StGB)
- a) Urkundenfälschung i. e. S. (Ziff. 1 Abs. 1)
- b) Falschbeurkundung (Ziff. 1 Abs. 2 in fine)
- aa) Aussagegehalt der Urkunde
- bb) Erhöhte Glaubwürdigkeit der Urkunde
- c) Mittelbare Falschbeurkundung
- IV. Exkurs: Einführung eines neuen Tatbestandes «Wissenschaftsbetrug»?
- V. Fazit
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