Jusletter

Avocat de la première heure : Quo vadis ?

  • Autor/Autorin: Miriam Mazou
  • Rechtsgebiete: Strafprozessrecht
  • Zitiervorschlag: Miriam Mazou, Avocat de la première heure : Quo vadis ?, in: Jusletter 13. Februar 2012
Die gesetzlichen Bestimmungen zur Institution des Anwalts der ersten Stunde sind erst seit einem Jahr in Kraft und werfen noch viele Fragen in rechtlicher und praktischer Hinsicht auf. Die Bestimmungen müssen zudem im Lichte der Rechtsprechung des Europäischen Gerichtshofs für Menschenrechte betrachtet werden, der in manchen Punkten den Angeklagten Rechte zugesteht, die über die Vorschriften des Strafprozesses in der Schweiz hinausgehen. (sk)

Table des matières

  • I. Introduction
  • II. Deux arrêts importants rendus par la Cour européenne des droits de l’Homme
  • 1. L’arrêt Salduz c. Turquie
  • 2. L’arrêt Pishchalnikov c. Russie
  • III. A quel moment l’avocat dit « de la première heure » doit-il être mis en œuvre ?
  • 1. Dès la première audition menée par la police
  • 2. A l’occasion d’une expertise ?
  • IV. Le prévenu peut-il prétendre à l’ajournement de l’interrogatoire ?
  • 1. Incompatibilité de l’art. 159 al. 3 CPP avec la jurisprudence de la Cour européenne des droits de l’homme 
  • 2. Nécessité d’interpréter largement l’art. 159 al. 3 CPP
  • 3. Existe-t-il des exceptions ?
  • V. De quelle manière l’avocat peut-il intervenir ?
  • 1. Droit du prévenu de communiquer librement avec son défenseur avant et pendant l’audition
  • 2. Droit du défenseur de poser des questions
  • VI. A quelles informations l’avocat de la première heure a-t-il accès ?
  • VII. L’avocat de la première heure peut-il assister à l’audition des co-prévenus de son client ?
  • VIII. Quelle sanction en cas de non respect de la règle de l’article 159 CPP ?
  • IX. La personne appelée à donner des renseignements a-t-elle droit à un avocat de la 1ère heure ?
  • X. La problématique de l’interprète de la première heure
  • XI. La problématique des coûts
  • XII. Conclusion

0 Kommentare

Es gibt noch keine Kommentare

Ihr Kommentar zu diesem Beitrag

AbonnentInnen dieser Zeitschrift können sich an der Diskussion beteiligen. Bitte loggen Sie sich ein, um Kommentare verfassen zu können.