La parole de la victime peut fonder une condamnation
TF – La parole de la victime peut suffire à justifier une condamnation. Coupable d’avoir refusé la priorité à une piétonne dans une zone où la vitesse est limitée à 20 km/h, un automobiliste zurichois l’a appris à ses dépens. (Arrêt 6B_275/2012)
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