Euthanasie active sur un mineur : quels droits sont-ils en jeu ?
Commentaires sur l’euthanasie d’un mineur en Belgique
La loi belge (2014), qui a étendu l’euthanasie aux mineurs, a suscité cette réflexion bio-juridique sur les besoins et les droits qui sont en jeu face à une maladie incurable, quand la dépendance, la fragilité et la finitude humaine sont absolues et évidentes et la peur d’être laissé tout seul (en particulier, si le sujet est un mineur) ou d’être un poids pour autrui, peut augmenter le désir de mourir. Alors, peut-on vraiment parler d’un droit à mourir, ou devrait-on souligner, plutôt, le besoin/droit du malade à ne pas souffrir (et aux soins palliatifs), à être soutenu, à ne pas être abandonné, dans les derniers moments de sa vie ?
Inhaltsverzeichnis
- 1. Première question : la frontière entre « to cure » et « to care » est-elle toujours claire dans les soins palliatifs ?
- 2. Deuxième question : comment évaluer concrètement la capacité de discernement ?
- 3. Troisième question : quels droits sont-ils en jeu ?
- 4. Conclusions : le besoin de ne pas être abandonné et le droit d’être soutenu
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