Datenschutz in der (Human-)Forschung: Grundlagen und Probleme bei der Sekundärnutzung von Personendaten
La présente contribution révèle le décalage entre la théorie du droit de la protection des données (de recherche) et la pratique du droit de la recherche. D'une part, la réglementation en vigueur vide de son sens une partie importante du privilège accordé par le droit de la protection des données, car il n'est pas envisagé dans le domaine de la recherche sur l'être humain. D'autre part, l'effet de protection prévu pour les personnes concernées dans le domaine d'application de la LRH est en grande partie inopérant, car la disposition d'exception est régulièrement sollicitée et acceptée. Dans les faits, il serait toutefois plus pertinent d'appliquer le privilège de la recherche défini par les lois générales sur la protection des données également dans le domaine de la recherche sur l'être humain. (xf)
Inhaltsverzeichnis
- 1. Einleitung
- 2. Rechtliche Einordnung der Begriffe «Forschung» und «Humanforschung» in der Schweiz
- 3. Allgemeine rechtliche Grundlagen zur Datennutzung in der Forschung
- 3.1. Gemäss DSG
- 3.2. Gemäss IDG-ZH
- 3.3. In der EU
- 3.4. Privilegierte Datenbearbeitung für die Forschung
- 3.4.1. Gemäss DSG
- 3.4.2. Gemäss IDG-ZH
- 3.4.3. In der EU
- 3.5. Zwischenfazit
- 4. Besondere rechtliche Grundlagen zur Datennutzung in der Humanforschung
- 4.1. Anwendungsbereich des HFG
- 4.2. Grundsätze der Sekundärnutzung in der Humanforschung
- 4.3. Die Ausnahmebestimmung gemäss Art. 34 HFG
- 4.3.1. Unmöglichkeit, Unverhältnismässigkeit oder Unzumutbarkeit
- 4.3.2. Keine Ablehnung
- 4.3.3. Interessenabwägung
- 5. Problemaufriss
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