Die Geltung von nemo tenetur im Verwaltungsverfahren
La procédure administrative exige que les parties participent activement à la procédure (devoir de coopération). Inversément, le droit de procédure pénale prévoit que personne n’est tenu de fournir des preuves contre soi-même (principe du nemo tenetur). Ces deux maximes procédurales peuvent donc entrer en conflit lorsqu’une affaire a à la fois un volet administratif et un volet pénal. La Cour européenne des droits de l’homme (CourEDH) a débattu, dans son arrêt Chambaz c. Suisse du 5 avril 2012, de quelques questions complexes relatives à cette problématique. L’auteur analyse cet arrêt et ses conséquences sur le droit administratif et le droit pénal suisses. (sl)
Inhaltsverzeichnis
- I. Einleitung
- II. Sachverhalt und Prozessgeschichte
- III. Erwägungen
- A) Anwendungsbereich von Art. 6 Ziff. 1 EMRK
- B) Die Verletzung von nemo tenetur
- IV. Würdigung im Lichte der bisherigen Rechtsprechung
- A) Anwendungsbereich von nemo tenetur in Verwaltungsverfahren
- B) Schutzbereich von nemo tenetur in Bezug auf die erzwungene Dokumentenedition
- C) Rechtfertigung einer Verletzung von nemo tenetur durch öffentliche Interessen
- V. Auswirkungen für das Verhältnis zwischen Verwaltungsrecht und (Verwaltungs-)strafrecht in der Schweiz
- A) Verzicht auf Mitwirkung im Verwaltungsverfahren
- B) Beweisverwertungsverbot im Strafverfahren
- C) Trennung der Verfahren
- VI. Fazit
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