Das Minarettverbot ist anwendbar – auch in hängigen Verfahren
La présente contribution a pour objet la fameuse décision du 20 septembre 2010 de la Direction des travaux publics, des transports et de l'énergie du Canton de Berne (BVE) relative à la demande de construire un minaret déposée à Langenthal. Contrairement à la BVE, l’auteur soutient que l’interdiction de construire des minarets selon la nouvelle tenue de l’art. 72 al. 3 Cst. s’applique également aux procédures déjà pendantes. L’auteur se focalise sur la question du droit applicable dans l’affaire mentionnée : est-ce le droit en vigueur au moment de délivrer l’autorisation de construire ou le droit en vigueur au moment de la décision de la BVE ? D’autres questions soulevées dans la décision de la BVE ne seront pas traitées dans la présente étude. (bb)
Inhaltsverzeichnis
- 1. Ausgangslage; Argumentation der BVE
- 2. Zur Frage der Justiziabilität von Art. 72 Abs. 3 BV
- 3. Anwendung neuen Rechts in hängigen Verfahren
- 3.1 Rechtsprechung und Lehre
- a) Entscheide des Bundesgerichtes
- b) Lehre
- c) Fazit
- 3.2 Insbesondere: Anwendung neuen Verfassungsrechts auf ein hängiges Verfahren
- a) Normstufe als Ausdruck der Erheblichkeit öffentlicher Interessen
- b) Sofortige Anwendung neuen Verfassungsrechts durch das Bundesgericht
- c) Fazit: Sofortige Anwendbarkeit justiziabler Verfassungsartikel
- 3.3 Zur Frage des offensichtlichen Hinauszögerns
- 4. Insbesondere: Das qualifizierte Schweigen des Initiativtextes
- 4.1 Sinn der Übergangsbestimmungen
- 4.2 Auslegung von Art. 72 Abs. 3 BV
- a) Keine Rückwirkung
- b) Der klare Wortlaut
- c) Ziel und Zweck
- d) Entstehungsgeschichte von Art. 72 Abs. 3 BV
- i. Besondere Relevanz
- ii. Rolle der hängigen Gesuche im Abstimmungskampf
- 4.3 Fazit
- 5. Zusammenfassung
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