Le Drug checking en Suisse : L’autorisation administrative & l’illicéité pénale
Die Praxis des Drug Checking (DC), die auf der Komponente «Schadensminderung» der Schweizer Vier-Säulen-Politik im Bereich der Betäubungsmittel basiert, verbreitet sich allmählich in der Schweiz. Der vorliegende Artikel untersucht, ob für seine Durchführung nach dem Betäubungsmittelgesetz (BtmG) eine oder mehrere behördliche Bewilligungen erforderlich sind. In einem zweiten Schritt wird analysiert, ob die am Angebot von DC beteiligten Personen nach dem BetmG strafrechtliche Sanktionen zu befürchten haben. (xf)
Table des matières
- 1. Introduction
- 2. Généralités
- 3. Nécessité d’obtenir une ou plusieurs autorisations administratives
- 3.1. Études précédentes
- 3.2. Éléments préliminaires d’analyse
- 3.3. Présentation synthétique
- 3.4. Analyse par autorité
- 3.4.1. La compétence de Swissmedic
- 3.4.2. La compétence du canton
- 3.4.3. La compétence du DFI
- 3.4.4. La compétence du Conseil fédéral
- 3.4.5. La compétence de l’OFSP
- 3.4.6. Récapitulatif
- 4. Le DC est-il pénalement répréhensible ?
- 4.1. L’art. 19 let. d LStup : la possession sans droit
- 4.1.1. Posséder, détenir, acquérir, se procurer des SSC d’une autre manière
- 4.1.2. Le caractère sans droit
- 4.1.3. Les motifs justificatifs
- 4.2. L’art. 19 let. b LStup : le transport sans droit
- 4.3. L’art. 19 let. f LStup : l’incitation publique à la consommation
- 4.4. L’art. 19bis LStup : la remise à des mineurs
- 4.5. L’art. 19a LStup : la consommation de stupéfiants
- 4.6. Récapitulatif sur le plan pénal
- 5. Conclusion
- 6. Pistes pour l’avenir
- Annexe
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