Gestation pour autrui versus greffe d’uterus
L’illusion d’un espoir ?
La greffe d’utérus ne se résume plus à la prouesse réalisée en 2014 par l’équipe suédoise du Professeur Brännström. À ce titre, elle concurrence la gestation pour autrui en permettant de devenir la mère génétique, gestationnelle et légale d’un enfant sans recours à une tierce personne. Si les enjeux éthiques et juridiques divergent de ceux concernant la gestation pour autrui, ils n’en demeurent pas moins suffisants pour repousser momentanément la légalisation de la greffe d’utérus. L’article propose une comparaison entre ces deux techniques, tout en envisageant quel pourrait être l’encadrement juridique approprié pour la greffe d’utérus.
Table des matières
- I. Un procédé prometteur
- A. Un espoir reconnu
- 1. Les personnes concernées
- 2. Le contexte particulier
- B. Un espoir entretenu
- 1. En pratique
- 2. En théorie
- II. Un procédé périlleux
- A. Les obstacles persistants
- 1. Les obstacles techniques
- 2. Les obstacles éthiques
- B. Les possibilités d’encadrement
- 1. Encadrer l’accès à la transplantation
- 2. Encadrer le consentement à la transplantation
Loggen Sie sich bitte ein, um den ganzen Text zu lesen.
Es gibt noch keine Kommentare
Votre commentaire sur cet article
Les abonné-e-s à cette revue peuvent prendre part à la discussion. Veuillez vous connecter pour poster des commentaires.
Aucun commentaire